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LA RECHERCHE D’UN STAGE : DOIT OBLIGATOIREMENT FAIRE L’OBJET D’UNE CONVENTION

Le stage doit obligatoirement faire l’objet d’une convention signée par l’organisme d’accueil (entreprise, association, collectivité territoriale…), votre établissement d’enseignement, l’enseignant référant, le tuteur de stage dans l’organisme d’accueil et vous-même avant le début du stage. Cette convention définit le cadre du stage (détail de la mission en rapport avec le cursus suivi, horaires, engagements de toutes les parties…). Les pièces à fournir pour la signature de la convention de stage sont les suivantes : copie de la carte d’étudiant copie de la carte d’identité copie de la carte de sécurité sociale ou de l’attestation d’immatriculation en cours fiche d’état civil précisant les noms et prénoms des parents, en cas de naissance à l’étranger relevé d’identité postale ou bancaire La convention doit indiquer l’intitulé de la formation suivie par le stagiaire, les activités confiée au stagiaire, les dates de début et de fin de stage, les conditions de la gratification… La durée du stage Le stage ne peut pas dépasser six mois par année d’enseignement, sauf dérogations. Pour les stages supérieurs à deux mois, la convention doit prévoir la possibilité de congés et d’autorisations d’absence pour le stagiaire. Cette possibilité est facultative pour les stages d’une durée inférieure à deux mois. Bon à savoir : Le stagiaire peut bénéficier de certains droits et avantages accordés aux salariés (accès aux activités sociales et culturelles proposées par le comité d’entreprise par exemple). A la fin du stage, l’entreprise ou tout autre organisme d’accueil doit obligatoirement remettre au stagiaire une attestation de stage qui mentionne la durée totale du stage et, le cas échéant, le MONTANT TOTAL DE LA GRATIFICATION versée. Le nombre de stagiaires en entreprise est limité Le nombre de stagiaires ayant une convention en même temps, au cours d’une même semaine civile, ne peut dépasser 15 % de l’effectif dans les entreprises de 20 salariés et plus (par exemple 4 stagiaires maximum dans une entreprise de 25 employés). Les entreprises de moins de 20 salariés peuvent accueillir trois stagiaires maximum en même temps. Un tuteur peut suivre trois stagiaires au maximum au cours de la même période. La recherche d’un stage La recherche d’un stage procède de la même manière que la recherche d’un emploi : il vous faut cibler les entreprises qui correspondent à vos compétences, envoyer un CV accompagné d’une lettre de motivation, et souvent passer un entretien. Votre établissement peut vous aider dans la recherche d’un stage, au travers de son réseau et du fichier d’entreprises. Il en est de même de Pôle emploi, des CIDJ, du CROUS, des associations d’étudiants ou encore des chambres de commerce et d’industrie.

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LE 1ER OCTOBRE, L’ABSENCE D’ENTRETIEN PROFESSIONNEL SERA SANCTIONNÉE

Les entreprises de plus de 50 salariés doivent faire un bilan tous les six ans avec chaque salarié. Les entreprises de plus de 50 salariés qui ont omis depuis six ans de réaliser les entretiens professionnels avec leurs collaborateurs ont tout intérêt à se mettre en règle avant la fin septembre. À défaut, elles peuvent devoir verser 3 000 euros sur le compte professionnel de formation de chaque employé ainsi «oublié». «Si, rappelées à l’ordre par l’inspection du travail, elles négligeaient de lui attribuer cette somme, elles seraient passibles d’une amende de 6 000 euros pour chaque entretien non réalisé», précise Muriel Pariente, avocat associée au sein du cabinet Ashurst. TOUS LES DEUX ANS… OU PLUS L’entretien professionnel – à ne pas confondre avec l’entretien annuel, même s’ils sont souvent «couplés» – doit en principe être réalisé tous les deux ans. «Mais un accord d’entreprise peut prévoir un délai supérieur», rappelle l’avocate. Il doit aussi être systématique lorsqu’un collaborateur revient dans l’entreprise après une longue absence: congé maternité, arrêt maladie de plus de six mois.

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FORMATION PROFESSIONNELLE: ACCORD EN VUE À LA FIN DU MOIS

Syndicats et patronat comptent boucler dans les prochaines semaines leur révision de la loi de 2018. Deux mois de discussions n’auront pas suffi aux partenaires sociaux pour se mettre d’accord sur un texte afin de corriger et d’améliorer la loi de 2018 pour «la liberté de choisir son avenir professionnel», qui promettait un véritable «big bang» dans le domaine de la formation et des compétences. En lieu et place d’un accord national interprofessionnel (ANI) qu’ils visaient, syndicats et patronat se sont contentés d’établir une liste de 49 propositions qu’ils ont remise à la mi-juillet à Élisabeth Borne. Après la trêve estivale, les négociateurs reprennent leurs discussions pour affiner cette base de travail dans l’optique d’avancer sur un consensus. «Parvenir à un accord complet demande encore du travail car les sujets sont nombreux. Et chaque mot et chaque virgule comptent , confie Michel Beaugas, en charge du dossier chez FO. Ce chantier, au programme du calendrier autonome des partenaires sociaux – refusé par la CGT qui pourrait changer d’avis -, va ainsi être relancé dans les prochaines semaines.

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ECOLES DE COMMERCE

Vous voulez faire carrière dans le secteur du management, du marketing, de la vente, de la finance ? Les écoles de commerce sont la voie idéale pour acquérir les compétences exigées des recruteurs, ou pour créer son entreprise. Mais en quoi consiste leur formation ? Comment choisir son école et être admis ? Nous vous disons tout. Et si vous voulez rencontrer et échanger avec les responsables pédagogiques et les étudiants d’écoles de commerce et de management, nous vous donnons aussi rendez-vous sur l’un des Salons Studyrama des Grandes Écoles !

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LA CONVENTION DE STAGE : À QUOI S’ENGAGE-T-ON ?

LA CONVENTION DE STAGE : À QUOI SERT-ELLE ? Le convention de stage est un passage obligatoire avant de réaliser un stage dans le milieu professionnel en France ou à l’étranger. Il ne s’agit pas à proprement parler d’un contrat de travail, même si, en tant que stagiaire, vous comptez parmi les effectifs de l’entreprise. Le rôle de ce document est de déterminer les règles du stage et les responsabilités de chacun. Elle est aussi essentielle en termes d’assurance puisqu’elle garantit la couverture sociale et le risque d’accidents du travail. Tripartite, la convention est rédigée par l’école et signée par elle, puis par l’entreprise d’accueil et enfin, par vous ! Seul document de référence en cas de litige, la convention de stage doit impérativement comprendre 11 clauses : La définition des missions et objectifs qui vous sont confiés ; Les dates de début et de fin de votre stage ; La durée hebdomadaire maximale de votre présence dans l’entreprise ; Le montant de la gratification qui vous sera versée et les modalités de son versement (la périodicité, le mode de paiement, etc.) ; La liste des avantages offerts par l’entreprise (par exemple, le remboursement d’une partie de vos frais de transports ou les tickets restaurant) ; Le régime de protection sociale dont vous bénéficiez, y compris la protection en cas d’accident du travail ; Une mention pour désigner votre responsables de stage et le responsable au sein de votre établissement académique ; Une mention pour confirmer que votre entreprise vous remettra une attestation de stage, un document qui vous sera remis en fin de stage et qui prouve que vous avez bien exercé dans cette entreprise ; Les modalités de suspension et de résiliation du stage, donc dans quelles conditions vous ou votre entreprise pouvez y mettre fin ; Les conditions dans lesquelles vous êtes autorisé à vous absenter (pour des examens par exemple) Les clauses du règlement intérieur de l’entreprise. LIRE AUSSI DANS NOTRE RUBRIQUE : STUDENTS Commencer à travailler jeune : « l’expérience a plus de valeur qu’un diplôme ! » QUELQUES CONSEILS AVANT DE SIGNER UNE CONVENTION DE STAGE Dans l’enthousiasme de l’obtention d’un premier stage en entreprise, vous avez tendance à signer la convention sans même la lire. Et pourtant, cela pourrait vous éviter bien des déconvenues. Bien lire la convention, en particulier les missions qui vous seront confiées, est une étape déterminante de la qualité de votre stage. Vos missions sont-elles réellement en adéquation avec votre cursus et les modalités de validation de votre diplôme ? Vos attentes correspondent-elles aux objectifs que l’entreprise a mentionnés dans la convention ? Assurez-vous d’être bien sur la même longueur d’onde avant de commencer l’aventure et n’hésitez pas à solliciter votre maître de stage ou votre établissement scolaire pour lui poser des questions si vous avez un doute.   LA CONVENTION DE STAGE, UNE LISTE DE DROITS ET DE DEVOIRS ELLE VOUS PROTÈGE DES ABUS ! Le stage est un échange de bons procédés. En vous recrutant, l’entreprise bénéficie d’une ressource jeune et peu coûteuse (ça ne donne pas vraiment envie dit comme ça, n’est-ce pas ?), en échange, celle-ci vous prodigue une formation, vous transmet des compétences concrètes et vous verse un petit salaire. Malheureusement, comme dans tout, il y a des abus. Certaines structures s’entourent d’une armée de stagiaires, plutôt que de recruter des salariés. C’est pourquoi, la loi interdit de conclure une convention de stage pour : L’exécution d’une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent. Concrètement, si une entreprise recrute des stagiaires pour le même poste depuis 20 ans, elle devrait plutôt songer à embaucher une personne en CDI. Du coup, la loi l’y oblige. Remplacer un salarié absent, licencié ou dont le contrat de travail est suspendu, faire face à un accroissement temporaire de son activité ou encore occuper un emploi saisonnier. Encore une fois, vous n’êtes pas censé faire le travail d’un salarié en CDI ou en CDD ! La durée d’un stage est limitée à 6 mois par année d’enseignement, et vous ne pourrez pas travailler plus de 6 mois consécutifs pour la même entreprise. Vous ne pourrez pas travailler plus de 35h par semaine ni plus de 10h par jour. Le nombre de stagiaires ne peut dépasser 15% des effectifs de l’entreprise d’au moins 20 salariés et est limité à 3 stagiaires pour les entreprises de moins de 20 salariés. De plus, un délai de carence d’1/3 de la durée du stage précédent est imposé à l’entreprise entre deux stages. Par exemple, à l’issue d’un stage de 6 mois, l’entreprise est tenue d’attendre 2 mois avant d’accueillir un autre stagiaire sur le même poste. GRATIFICATION ET CONGÉS : QUELS DROITS POUR LE STAGIAIRE ? Autrefois facultative, la gratification en stage est maintenant réglementée. C’est très simple, au-delà de 2 mois de stage (ou l’équivalent de 44 jours à 7h/jour), vous recevrez automatiquement une gratification minimale de 3,90€ de l’heure.. Si vous n’êtes pas considéré·e comme un·e salarié·e, vous pouvez toutefois bénéficier de certains avantages en plus de la gratification mensuelle, tels que : L’accès au restaurant d’entreprise et/ou l’obtention de tickets restaurant dans les mêmes conditions que les salariés ; Le remboursement d’une partie de vos frais de transports, soit 50% du prix de l’abonnement souscrit ; Les conditions relatives au temps de travail (durée de travail, repos quotidien, travail de nuit et jour fériés) sont applicables aux salariés comme aux stagiaires ; Des congés. Car si, à la différence des salariés, en dessous de 2 mois de stage, vos congés ne sont pas dûs, passé 2 mois, ils peuvent être autorisés, mais leur rémunération est facultative ; Des congés maternité, de paternité ou d’adoption, pour une durée équivalente à celle prévue pour les salariés ; Enfin, des points de retraite. Certains stages peuvent être pris en compte pour vos vieux jours (c’est toujours ça de pris ! Attention à ne pas jeter vos fiches de paie !) CONVENTION DE STAGE : COMMENT LA ROMPRE ? SI LA DÉCISION VIENT DE VOUS Et oui, vous pouvez tout à fait

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FAIRE L’EXPÉRIENCE DE L’ENTREPRISE GRÂCE AUX STAGES

Il existe plusieurs opportunités pour faire l’expérience du monde l’entreprise dans les grandes écoles : les stages, l’année de césure mais aussi l’apprentissage. Les stages, et notamment le stage de fin d’études, demeurent la principale porte d’entrée vers l’emploi pour les jeunes diplômés. Existe-t-il d’autres finalités ? Sont-ils incontournables ? Quelle est la typologie des stages proposés ? Quelles formations incluent des stages dans leur cursus ? Voici ce qu’il faut savoir. 100 % des étudiants du PROGRAMME GRANDE ÉCOLE des écoles de management et de commerce réalisent au moins un stage au cours de leur cursus. Pourquoi ? Parce que la proximité avec l’entreprise étant un pilier du modèle des GRANDES ÉCOLES, le stage est devenu une étape incontournable dans le parcours d’un étudiant. Les missions et les projets développés par les écoles sont multiples et variés. Aujourd’hui, tout est mis en œuvre pour confronter le plus tôt possible les étudiants aux réalités de la vie en entreprise. QU’EST-CE QU’UN STAGE ? Il s’agit d’une période passée en entreprise obligatoire (start-ups, PME, TPE, industries, grands groupes…), de durée variable, au cours de laquelle un étudiant effectue une mission professionnelle dont la nature varie en fonction de son niveau d’études et des projets pédagogiques de l’école. L’étudiant signe une convention de stage avec son école et une entreprise. Cette période en entreprise peut être gratifiée d’une indemnité de stage. A QUOI SERVENT LES STAGES ? Les stages sont la clef de voûte de l’enseignement en école de management et de commerce. Ils permettent à l’étudiant de se familiariser avec le monde du travail tout en amorçant la construction d’un réseau relationnel, fort utile par la suite. Le stage est aussi considéré comme une période de formation au cours de laquelle il se professionnalise, met en pratique les connaissances acquises, et confronte son savoir-faire avec les exigences du monde professionnel. Les stages sont donc choisis en cohérence avec la formation suivie. Ils permettent de multiplier les expériences en entreprise et donc d’affiner son PROJET PROFESSIONNEL comme d’enrichir son CV. Ils sont aussi essentiels de début de carrière mais aussi le moyen le plus adapté pour trouver l’emploi souhaité. Les stages sont au cœur des RELATIONS ÉCOLE-ENTREPRISES, qui s’exercent, par exemple, par des conventions signées avec les entreprises à travers lesquelles l’entreprise s’engage à proposer des opportunités de carrière, et donc de stage (au même titre que les contrats en alternance, les offres d’emploi, VIE…), aux étudiants. Les services entreprises et carrières des écoles jouent un rôle déterminant. Ils ont développé des applications et sites dédiés exclusivement réservés à leurs étudiants, permettant aux entreprises d’interagir et de partager des offres de stage, et aux élèves/diplômés de les consulter et d’y répondre. LES STAGES SONT-ILS ENCADRÉS ? Oui. Les conditions de mise en œuvre des stages se déroulent dans un cadre pédagogique maîtrisé et transparent. La LOI DU 10 JUILLET 2014 encadre le recours aux stagiaires des entreprises et vise aussi à l’amélioration du statut des stagiaires comme “une période temporaire de mise en situation en milieu professionnel au cours de laquelle l’étudiant ou l’élève acquiert des compétences professionnelles qui mettent en œuvre les acquis de sa formation en vue de l’obtention d’un diplôme ou d’une certification”. Cette lois vise aussi à améliorer les droits des stagiaires (hausse de la gratification, tickets restaurants, remoursement des frais de transports, trimestres pour la retraite…). LA TYPOLOGIE DES STAGES BACHELOR, école APRÈS BAC ou APRÈS PRÉPA, MSC, MS… : toutes les formations incluent un stage en en entreprise. Le contenu et la durée des stages varient d’une école ou d’un programme à l’autre. En 2e et 3e année, l’étudiant s’engage dans des stages de durée plus longue, au contenu plus approfondi. En 3e année, le stage dure généralement 6 mois au minimum. Il fait souvent office de pré-embauche. Les stages peuvent être effectués en France ou à l’étranger. Enfin, les étudiants en école de commerce ont la possibilité de faire une année césure en entreprise. Les écoles proposent des stages à tous les échelons du cursus grande école. La première année étant considérée comme une année d’initiation, le stage s’apparente à un stage « découverte ». La deuxième année est une année d’approfondissement, où le stage constituera une période d’application en milieu professionnel. Enfin, la troisième année est une année de perfectionnement et de spécialisation, le stage de fin d’études sera donc un stage de spécialisation professionnelle. LES STAGES À L’ÉTRANGER La particularité des grandes écoles est de favoriser la mobilité de leurs étudiants, soit au travers d’un séjour d’études, soit d’un stage en entreprise. Plus de 11 000 étudiants des grandes écoles des écoles de management effectuent un stage à l’étranger chaque année. La grande majorité opte pour une durée allant de 3 à 6 mois, une part importante choisit les stages d’une durée de 6 à 12 mois qui se font dans le cadre d’une CÉSURE, une autre proportion les stages d’une durée de 1 à 3 mois. Plus marginalement, quelques étudiants s’expatrient pour 1 mois seulement ou plus de 12 mois. Les stages sont réalisés au sein des entreprises françaises implantées à l’étranger ou des entreprises étrangères. L’Europe de l’Ouest reste la région du monde favorite des étudiants qui partent en stage, suivie par l’Asie, l’Amérique du Nord, l’Amérique latine et du Sud, l’Afrique sub-saharienne. LE STAGE, UN VECTEUR IMPORTANT DANS L’INSERTION PROFESSIONNELLE DES JEUNES DIPLÔMÉS Cette immersion de l’étudiant dans le monde de l’entreprise est un déterminant important de l’insertion professionnelle. Selon la dernière enquête insertion publiée par la CGE (juin 2018), le stage de fin d’études est la principale porte d’entrée vers l’emploi. 19,4 % des managers interrogés déclarent avoir trouvé leur premier poste grâce à celui-ci. Par ailleurs, les stages effectués durant leur année de césure ou leur année professionnalisante ont permis à 8 % des managers d’obtenir leur premier emploi. La réalisation d’un stage réduit donc considérablement la durée de la recherche d’emploi. Cet indicateur met en exergue l’une des plus importantes forces des grandes écoles à savoir leur connexion aux milieux économiques.

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